Les jobs d'été se trouvent en hiver, les jobs d'hiver en été : si vous voulez travailler comme saisonnier dans l'un des centres touristiques du Tyrol, il vaut mieux vous y prendre à l'avance. Anton, Ischgl ou Sölden, les pensions et les petits hôtels recherchent du personnel de service pour le restaurant, la réception ou l'entretien des chambres. La recherche passe souvent par des groupes Facebook, par exemple "Seasonaires St. Anto"" ou "Paznaun - Ischgl CREW | Community & Jobs", qui comptent chacun environ 4.000 membres. Il est également possible de trouver des informations sur les sites Internet des communes et des offices de tourisme.
Un plus beau bureau qu'une monitrice de ski ? Personne n'en a, je crois. De toute façon, ce job est l'un des meilleurs. D'abord parce qu'il est très amusant de transmettre ses compétences sur deux planches (ou un snowboard). Et deuxièmement, parce que l'on fera partie d'un équipage passionné de sport et de fête. Pour décrocher l'un des postes convoités, le mieux est d'écrire directement aux écoles de ski pour lesquelles on aimerait travailler, comme l'école de ski d'Arlberg, l'école de ski d'Ischgl ou l'école de ski de Sölden.
Attention : certaines exigent que l'on puisse présenter une licence, d'autres sont plus généreuses. Pour les cours de jardin des neiges en particulier, il n'est souvent pas nécessaire d'avoir une longue expérience préalable. Il faut cependant pouvoir faire preuve des aptitudes nécessaires sur les skis - sinon on se fait remarquer de manière assez négative lors des cours d'initiation au début de l'hiver.
Travailler avec la tête, c'est bien, mais avec les mains, c'est souvent encore plus gratifiant. Qu'il s'agisse de nettoyer la bergerie, de conduire un tracteur ou de traire les vaches, la vie de saisonnier dans une ferme est pour beaucoup un rêve d'enfant. Le woofing, comme on appelle aussi le travail dans les fermes en échange du gîte et du couvert, est bien sûr particulièrement adapté au Tyrol, région agricole par excellence. De nombreuses fermes recherchent des collaborateurs via les plateformes wwwof.at, farmarbeit.de et workaway.info.
La majeure partie du Tyrol est rurale, mais Innsbruck, la capitale du Land, offre du travail même à ceux qui se sentent plus à l'aise dans les soirées que sur le tabouret de traite. La scène des bars et des cafés est particulièrement variée et branchée à Innsbruck. Que ce soit au Kater Noster, au Montagu ou au Café Toscana : partout, on recherche régulièrement du personnel de service, des barmen et des baristas. Le mieux est de s'adresser directement aux établissements où l'on aimerait travailler - ou de chercher des offres adéquates via des groupes Facebook comme "Jobbörse Innsbruck und Umgebung".
Le grand rêve "J'ai toujours voulu faire ça" de très nombreuses personnes. Un été dans un alpage, loin du tumulte de la vie quotidienne, surplombant les difficultés de la civilisation. Mais le travail en alpage est moins romantique que beaucoup ne le pensent - et soudain, l'envie de sociabilité peut tout de même devenir assez forte. Mais si l'on est sûr de vouloir passer un été dans un alpage, on trouve sur almwirtschaft.com Des demandes de fermes de toute l'Autriche, mais surtout du Tyrol.
Devenir liftboy ou liftgirl ? C'est possible via les sites web des remontées mécaniques, qui recherchent chaque hiver du personnel. Avantage : on est certes assis au milieu d'un magnifique paysage de montagne, mais assez souvent derrière une vitre dans une station de montagne ou de vallée chauffée, on n'a donc pas froid. Et on a déjà vu plus d'une "lift girl" lire un livre pendant son travail. Un travail où l'on n'est donc pas constamment essoufflé.
